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28 Sep.

On entend bien souvent parler de trottinettes homologuées. Cette dernière homologation semble d’ailleurs constituer le précieux sésame nécessaire à l’acquisition d’un moyen de transport en bonne et due forme. Ces nouveaux moyens de transport ne viennent en effet pas sans règles. Mais qu’est-ce qu’une trottinette homologuée ? Quelle est leur valeur ajoutée quant à une trottinette non homologuée ? Quels sont les critères pour homologuer une trottinette ? Nous vous proposons un guide d’achat simple pour tout connaître sur l’homologation.

Une trottinette qui respecte la loi

Lorsque vous avez choisi une trottinette électrique maniable, c’était peut-être pour éviter les embouteillages ou encore les transports en commun. En cela, le critère le plus important pour ces moyens de transport est celui de leur vitesse ainsi que leur grande autonomie. Les trottinettes homologuées ne dépassent pas les 25km/heure autorisés par la loi. C’est avant tout parce que ce moyen de locomotion est bridé à 25 km/heure qu’elle est homologuée. 

A vrai dire, ce critère de vitesse maximale est nécessaire…et suffisant pour homologuer une trottinette ! Il reste un flou juridique important autour des trottinettes électriques et il suffit que la trottinette puisse atteindre la vitesse maximale de 25km/heure sans effort pour être homologuée… Les freins, la tenue de route, la facilité de conduite ou encore les avertisseurs lumineux ne constituent pas de critères impératifs pour l’homologation d’une trottinette. C’est pourquoi Zosh met un point d’honneur à proposer des modèles sécurisants et faciles à conduire qui limitent les risques de chutes et chocs tout en favorisant la maniabilité. En effet, ils sont dotés, entre autres, d’un système de freins à disques de qualité, de suspensions, d’un garde-boue, d’un moteur brushless, d’un châssis, d’amortisseurs et de grosses roues garantissant une expérience de mobilité urbaine incomparable.

L’homologation est obligatoire

Malgré leur respect des normes CE, certains véhicules électriques, malgré la puissance du moteur, ne sont pas officiellement homologués route parce qu’elles peuvent rouler à une vitesse supérieure à 25km/heure. Ce n’est pas pour cette raison que les modèles en question sont moins sécurisants, mais ils sont considérés comme dépassant le cadre de la conduite en ville. Les usagers ont le droit de rouler au-delà de la vitesse maximale autorisée sur les voies privées, c’est pourquoi des marques comme Zosh proposent des modèles aux capacités plus performantes dotés d’un bridage électronique. Tout cela, avec un rapport qualité-prix optimum.

Si elle comporte de nombreuses limites, l’homologation constitue la condition nécessaire et suffisante pour pouvoir circuler en trottinette électrique sur la voie publique. Il est absolument interdit de rouler en trottinette électrique non homologuée. D’ailleurs, la circulation au-delà des 25km/heure autorisés est punie de 1500 € d’amende. Faire homologuer sa trottinette électrique (si elle ne l’est pas déjà) est ainsi la condition sine qua non pour pouvoir rouler dans l’espace public. En effet, c’est l’homologation elle seule qui permet la contraction d’une assurance et qui engage donc la responsabilité de chacun d’un point de vue officiel.

Faire homologuer sa trottinette électrique

Aussi, si l’on détient une trottinette tout-terrain électrique dont la vitesse maximum est supérieure à 25km/heure, il faudra nécessairement la faire homologuer.
Comment procéder ?

  • Étape 1 : Il faut d’abord se munir du certificat de conformité distribué par le constructeur de la trottinette électrique. Le certificat de conformité est absolument nécessaire à la démarche d’homologation puisqu’il atteste de la fiabilité des composants et de la construction ainsi que du respect des normes CE. 
  • Étape 2 : Puis, il faut déclarer sa trottinette au Ministère de l’Intérieur, c’est-à-dire à l’autorité administrative (en Préfecture donc). Il vous sera délivré un numéro d’identification unique.
  • Étape 3 : Il appartient ensuite au conducteur de doter son nouveau moyen de locomotion d’une plaque d’immatriculation comportant son numéro d’identification. 
  • Étape 4 : Il convient enfin de se faire assurer. L’assurance est obligatoire pour tout EDPM (Engin De Déplacement Motorisé). 

Les règles restent très floues quant à l’immatriculation de la trottinette électrique, même le code de la route ne permet pas de lever le voile. Ce qu’il faut retenir c’est que le débridage d’une trottinette au-delà de 25km/h est puni de 1500 € d’amende et que l’assurance et la responsabilité civile sont obligatoires. Lorsque la prise en main d’une trottinette version adulte est aisée, il est facile d’oublier ces impératifs. Aussi, l’immatriculation suit logiquement de cette nécessité d’assurance en cas d’accident avec un piéton ou avec un autre véhicule qu’il s’agisse d’un EDPM ou d’une automobile. Prendre vos précautions, avec le port du casque et de protections, pour rider en toute sécurité est essentiel.

Les trottinettes Zosh peuvent-elles être homologuées ?

Les trottinettes électriques roulant à 25km/heure peuvent être impliquées dans des accidents avec ou sans gravité, impliquant ou non des piétons, c’est pourquoi il est obligatoire de contracter une assurance dédiée que ce soit pour le conducteur comme pour l’autre partie impliquée. L’assurance oblige à une immatriculation et donc à une homologation pour éviter que des engins débridés ne circulent sur les voies publiques, comme c’est le cas pour les deux-roues. 

Ces nouveaux véhicules induisent de nouvelles règles qui sont parfois difficiles à déchiffrer. Que vous utilisiez votre propre trottinette ou une disponible en libre-service, il est important de respecter les réglementations pour rouler en tout sécurité. Pour cela, Zosh se démarque, parmi les meilleurs modèles du marché, pour vous proposer la meilleure expérience possible.